25 ans de prélèvements forcés d’organes sur des êtres humains vivants a déjà transformé l’avenir des droits de l’homme

25 ans de prélèvements forcés d’organes sur des êtres humains vivants a déjà transformé l’avenir des droits de l’homme

Je voudrais d’abord remercier Monsieur Nelu Burcea d’Unequal Worlds et Monsieur Thierry Valle de CAP Liberté de conscience d’avoir invité Doctors Against Forced Organ Harvesting a prendre parole à ce webinaire pour le soixante quinzième anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme.

La déclaration universelle des droits de l’homme, née des horreurs de la deuxième guerre mondiale et de la Shoah, a donné aux gens, aux nations et aux pays l’inspiration, l’espoir et la réelle volonté de mettre en place des structures politiques et juridiques pour assurer le bien être et le respect de chaque individu.

Mais à force de constater que dans certain pays, même en ayant signés et ratifiés dans leur constitution la déclaration, les droits de l’homme sont abusés, ignorés et même utilisés pour protéger les intérêts de l’État.

Notre héritage n’est précédé d’aucun testament

Notre héritage n’est précédé d’aucun testament

Hannah Arendt cite un aphorisme de René Char (publié dans Feuillets d’Hypnos en 1946). « Pendant la Résistance, une génération d’écrivains et d’hommes de lettres européens a mis en place, dans le vide politique créé par l’effondrement de l’ancien système, un domaine public distinct, un espace nu où la liberté pouvait apparaître. Mais cette possibilité n’a pas duré longtemps. Rapidement, ce trésor apparu à l’improviste dans des conditions mystérieuses, a été perdu. Cette génération n’a pas été capable de lui donner un nom. L’histoire des révolutions  s’est répétée.

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