by CAP Liberté de Conscience | Dec 12, 2024 | HRC 40, HRC 45, news
On December 2, 2024, the Marseille Magistrates’ Court ordered UNADFI (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu) to publish a right of reply from CAP Liberté de Conscience on its website within 48 hours, subject to a penalty of 50 euros per day of delay. UNADFI had argued that its status as an organization of public utility meant that the law did not apply to it but the judge ruled that UNADFI was not above the law.
by CAP Liberté de Conscience | Nov 23, 2024 | France
Le 28 novembre, cela fera un an que des forces spéciales d’intervention d’environ 175 policiers portant des masques noirs, des casques et des gilets pare-balles, ont, dès 6 heures du matin, opéré des descentes simultanées dans huit maisons et appartements différents à Paris, en région parisienne, mais aussi à Nice, où des pratiquants de yoga roumains avaient décidé de faire une retraite spirituelle. Les forces de police ont alors brandi des fusils semi-automatiques en hurlant, faisant un énorme vacarme, fracassant portes et fenêtres, mettant tout sens dessus dessous.
by CAP Liberté de Conscience | Oct 3, 2024 | OSCE
Institutional torture can take many forms, and one particularly insidious manifestation is when control and ideology take precedence over human dignity[i]. The case of the French police’s treatment of Romanian yoga practitioners is a stark example of this.
by CAP Liberté de Conscience | Sep 20, 2024 | CAP LC United Nations, ICCPR, news
The report by Human Rights Without Frontiers (HRWF) and CAP LC presented to the 142nd session of the UN Human Rights Committee paints a disturbing picture of the treatment of Romanian yoga practitioners by French authorities in the aftermath of wide-scale police raids in November 2023.
by CAP Liberté de Conscience | Sep 16, 2024 | France
Le 28 novembre 2023, peu après 6 heures du matin, une équipe d’intervention des forces de police d’environ 175 agents portant des masques noirs, des casques et des gilets pare-balles, a fait irruption simultanément dans huit maisons et appartements distincts à Paris et en région parisienne, ainsi qu’à Nice. Ils brandissaient des fusils semi-automatiques, criaient, faisaient un énorme vacarme, enfonçaient les portes et mettaient tout sens dessus dessous.