Activity Report for CAP Liberté de Conscience during the 55th session of the Human Rights Council

Activity Report for CAP Liberté de Conscience during the 55th session of the Human Rights Council

Throughout the 55th session of the Human Rights Council, the Coordination des Associations et des Particuliers pour la Liberté de Conscience actively engaged in addressing a range of human rights concerns affecting religious minorities and vulnerable groups across Europe, Africa, and Asia. The organization’s interventions aimed to raise awareness, call for immediate action, and urge governments to uphold their obligations to protect the fundamental rights and freedoms of all individuals, regardless of their religious or spiritual affiliation.

Sœurs Dominicaines du Saint-Esprit : Le Vatican opposé à la France sur la liberté religieuse

Si certains pensent que l’attaque contre la liberté religieuse en France ne vise que les  « sectes » et l’islam, ils se trompent. Le 13 avril dernier, une organisation religieuse a déploré dans un communiqué officiel être victime en France d’une « grave violation des droits fondamentaux à la liberté religieuse et à la liberté d’association ». Le nom de cette organisation religieuse est l’Église catholique romaine, et la déclaration émane de la Salle de presse du Saint-Siège.

HRC 55 Written Statement : Stigmatization and Hate Crimes Against Religious Minorities in Europe

HRC 55 Written Statement : Stigmatization and Hate Crimes Against Religious Minorities in Europe

This statement from the NGO CAP Liberté de Conscience raises concerns about stigmatization, intolerance and hate speech towards religious minorities in Europe, often labeled pejoratively as “cults” or “sects”. It argues this phenomenon is fueled by anti-cult movements, sensationalist media coverage, and government bodies like France’s Miviludes that work with anti-cult associations.

Loi dérives sectaires et sujétion psychologique, ce qu’ils en pensent…

Loi dérives sectaires et sujétion psychologique, ce qu’ils en pensent…

Ces jours-ci à la Commission des lois de l’Assemblée nationale, on discute de la loi « visant à renforcer les dérives sectaires ». Le Sénat a proposé une nouvelle version du projet de loi, entre autres en en retirant l’article 1 du projet initial, qui créait un délit de « placement ou de maintien en état de sujétion psychologique ou physique ». Mais aujourd’hui à l’Assemblée, la rapporteure du projet de loi Brigitte Liso a estimé que le Sénat avait fait n’importe quoi, et entend bien remettre dans sa forme initiale le projet de loi, et réincorporer l’article 1.

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