by CAP Liberté de Conscience | Apr 30, 2025 | CAP LC United Nations, news
During the 82nd session of the Committee Against Torture (CAT)[i], France’s record on police practices and detention conditions faced pointed scrutiny. Omnium des Libertés (ODL) recent report submitted to the Committee[ii] provided testimony-driven evidence highlighting abuses by French law enforcement and violations of detainees’ fundamental rights. In this context, the Committee used its platform to seek clarity and accountability from France, reinforcing the utility and urgency of independent civil society reporting.
by CAP Liberté de Conscience | Apr 24, 2025 | France
HRWF (24.04.2025) – Treize mois après l’invasion russe de l’Ukraine, la Fédération européenne des centres de recherche et d’information sur le sectarisme (FECRIS), fondée et enregistrée à Paris en 1994, n’a eu d’autre choix que d’exclure sa branche russe, RATsIRS, et son président, Alexandre Dvorkin, pour tenter d’éviter un scandale public et sauver la face. Y est-elle parvenue ?
by CAP Liberté de Conscience | Apr 16, 2025 | France
Ça se passe au REC à Toulouse (Rencontres de l’Esprit Critique), lors d’une conférence sur « l’emprise mafieuse et sectaire » (excusez du peu). Donatien le Vaillant, chef de la MIVILUDES occupe la scène, et il se plaint d’être victime, lui et quelques associations antisectes, de « procédures-bâillon ». Comprenez que la justice serait instrumentalisée pour les faire taire.
by CAP Liberté de Conscience | Mar 20, 2025 | CAP LC United Nations, news
Key Findings from Human Rights Organization Report As France gets ready to respond to the Committee Against Torture (CAT) on its human rights record during the 82nd session, a report by an international human rights organization raises concerns about the activities of French police. The report notes severe violations of the fundamental rights of individuals during police raids and detention, with more emphasis on the treatment of spiritual minorities.
by CAP Liberté de Conscience | Jan 19, 2025 | France
Les 20 et 26 décembre 2024, le tribunal de la ville de Tbilissi a tenu des audiences pour décider si la Géorgie devait extrader Adina Stoian et son mari Mihai, arrêtés en août 2024 à la frontière turco-géorgienne sur la base d’un mandat d’arrêt d’Interpol émis à la demande de la France.