CAP Liberté de Conscience obtient deux nouvelles victoires contre la Miviludes, lourdement condamnée

CAP Liberté de Conscience obtient deux nouvelles victoires contre la Miviludes, lourdement condamnée

L’association CAP pour la Liberté de conscience (CAP LC) se félicite de la double décision rendue aujourd’hui par le tribunal administratif de Paris, qui annule des passages du rapport d’activité 2021 de la Miviludes ainsi que son refus de communiquer des documents relatifs aux subventions versées à l’UNADFI (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu). Dans les deux cas, la MIVILUDES (mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) est condamnée à verser 1 500 € à CAP LC.

L’interprétation toute personnelle des textes européens par l’UNADFI

L’interprétation toute personnelle des textes européens par l’UNADFI

Le débat public sur la lutte contre les dérives sectaires en France est souvent marqué par des controverses entre associations, spécialistes et institutions par articles interposés dans les médias ou sur les sites officiels. Cela soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression, le respect des faits et l’objectivité dans la présentation d’affaires juridiques.

CAP Liberté de Conscience obtient deux nouvelles victoires contre la Miviludes, lourdement condamnée

La « procédure-bâillon », la nouvelle excuse de la MIVILUDES et consorts

Ça se passe au REC à Toulouse (Rencontres de l’Esprit Critique), lors d’une conférence sur « l’emprise mafieuse et sectaire » (excusez du peu). Donatien le Vaillant, chef de la MIVILUDES occupe la scène, et il se plaint d’être victime, lui et quelques associations antisectes, de « procédures-bâillon ». Comprenez que la justice serait instrumentalisée pour les faire taire.

L’UNADFI n’échappera pas à la justice

L’UNADFI n’échappera pas à la justice

Le 2 décembre 2024, l’UNADFI avait été condamnée par le tribunal judiciaire de Marseille, et forcée de publier un droit de réponse de CAP LC sur son site Web dans les 48 heures, sous astreinte de 50 euros par jour de retard. Persuadée de pouvoir échapper à la loi, l’UNADFI avait fait appel en référé pour obtenir la suspension de la décision. Elle a été sèchement déboutée de cette action par la Cour d’Appel d’Aix en Provence.

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