Loi dérives sectaires et sujétion psychologique, ce qu’ils en pensent…

Loi dérives sectaires et sujétion psychologique, ce qu’ils en pensent…

Ces jours-ci à la Commission des lois de l’Assemblée nationale, on discute de la loi « visant à renforcer les dérives sectaires ». Le Sénat a proposé une nouvelle version du projet de loi, entre autres en en retirant l’article 1 du projet initial, qui créait un délit de « placement ou de maintien en état de sujétion psychologique ou physique ». Mais aujourd’hui à l’Assemblée, la rapporteure du projet de loi Brigitte Liso a estimé que le Sénat avait fait n’importe quoi, et entend bien remettre dans sa forme initiale le projet de loi, et réincorporer l’article 1.

La liberté religieuse menacée : Plus de 85% des Français sont opposés à une nouvelle loi

La liberté religieuse menacée : Plus de 85% des Français sont opposés à une nouvelle loi

HRWF (20.12.2023) – Le 15 novembre, le gouvernement français a déposé un projet de loi “visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires” sur le site Internet de l’association NosLois afin de recueillir l’avis des citoyens.

Le résultat est sans appel. Le 19 décembre, sur 678 suffrages exprimés, 86,8 % ont voté contre, estimant que le projet de loi était non seulement inutile, mais aussi liberticide. Seuls 10,9 % des votants ont exprimé une opinion positive, tandis que 2,2 % se sont abstenus.

La FECRIS tente à deux reprises d’échapper à une procédure judiciaire – en vain

La FECRIS tente à deux reprises d’échapper à une procédure judiciaire – en vain

Par acte d’huissier en date du 10 septembre 2022, la CAP-LC (Coordination des associations et des particuliers pour la liberté de conscience), qui défend la liberté de religion ou de conviction dans le monde, a assigné la FECRIS (Fédération européenne des centres de recherche et d’information sur le sectarisme) à comparaître devant le tribunal d’instance de Marseille, afin d’obtenir la dissolution de l’organisation pour ses activités prétendument illégales.

25 ans de prélèvements forcés d’organes sur des êtres humains vivants a déjà transformé l’avenir des droits de l’homme

25 ans de prélèvements forcés d’organes sur des êtres humains vivants a déjà transformé l’avenir des droits de l’homme

Je voudrais d’abord remercier Monsieur Nelu Burcea d’Unequal Worlds et Monsieur Thierry Valle de CAP Liberté de conscience d’avoir invité Doctors Against Forced Organ Harvesting a prendre parole à ce webinaire pour le soixante quinzième anniversaire de la déclaration universelle des droits de l’homme.

La déclaration universelle des droits de l’homme, née des horreurs de la deuxième guerre mondiale et de la Shoah, a donné aux gens, aux nations et aux pays l’inspiration, l’espoir et la réelle volonté de mettre en place des structures politiques et juridiques pour assurer le bien être et le respect de chaque individu.

Mais à force de constater que dans certain pays, même en ayant signés et ratifiés dans leur constitution la déclaration, les droits de l’homme sont abusés, ignorés et même utilisés pour protéger les intérêts de l’État.

Notre héritage n’est précédé d’aucun testament

Notre héritage n’est précédé d’aucun testament

Hannah Arendt cite un aphorisme de René Char (publié dans Feuillets d’Hypnos en 1946). « Pendant la Résistance, une génération d’écrivains et d’hommes de lettres européens a mis en place, dans le vide politique créé par l’effondrement de l’ancien système, un domaine public distinct, un espace nu où la liberté pouvait apparaître. Mais cette possibilité n’a pas duré longtemps. Rapidement, ce trésor apparu à l’improviste dans des conditions mystérieuses, a été perdu. Cette génération n’a pas été capable de lui donner un nom. L’histoire des révolutions  s’est répétée.

Comment un État traite les minorités religieuses et sur la façon dont ses citoyens vivent ensemble

Comment un État traite les minorités religieuses et sur la façon dont ses citoyens vivent ensemble

Le gouvernement français a mis en place un système de contrôle de ces minorités unique en Europe qui conduit à des violations graves par l’Etat des principes de liberté de religion ou de conviction, d’égalité des citoyens français devant les institutions nationales et de fraternité, en divisant les citoyens selon leur appartenance ou non à une minorité religieuse ou de conviction reconnue, et en créant un climat de suspicion et parfois même de haine à l’égard des croyances non traditionnelles, conduisant à une détérioration de la qualité du vivre ensemble pacifique.

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