L’utilisation abusive de l’administration fiscale pour persécuter les minorités spirituelles
L’utilisation abusive de l’administration fiscale pour persécuter les minorités spirituelles
L’utilisation abusive de l’administration fiscale pour persécuter les minorités spirituelles
Comme nous allons le voir, les récentes déclarations de Mme Schiappa et du ministre de l’Intérieur sur les églises évangéliques d’origine nord-américaine font étrangement écho à un communiqué de la Fédération Nationale de la Libre Pensée.
Le projet de Loi confortant le respect des principes de la République
Marlène Schiappa charge la MIVILUDES de rédiger un rapport sur les “dérives sectaires importées des Etats-Unis”
HRWF/ Bitter Winter (11.01.2021) – Alors que le projet de Loi confortant le respect des principes de la République (ex-projet de loi sur les séparatismes) est actuellement examiné par une commission spéciale de l’Assemblée Nationale, trois experts de renom viennent de publier un livre blanc intitulé La Laïcité, Comment la Préserver.
En vertu de l’article 38, ces contributions devraient être déclarées au « préfet », qui peut les interdire comme étant contraires à un « intérêt social fondamental ». Quelqu’un peut croire qu’un « préfet » n’agira que si les ressources sont clairement destinées à soutenir le terrorisme ou l’extrémisme politique. Mais ce n’est pas le cas. La France s’oppose officiellement aux groupes qu’elle qualifie de « sectes » et coopère officiellement, comme l’a confirmé la ministre déléguée à la Citoyenneté, Marlène Schiappa, lors de la discussion de la loi, avec l’UNADFI, une organisation française de lutte contre les sectes qui fait partie de la FECRIS, la Fédération européenne des centres de recherche et d’information sur le sectarisme. La FECRIS, qui reçoit un soutien financier du gouvernement français, a récemment été exposée par la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale comme une menace internationale grave pour la liberté religieuse.
Les organisations anti-sectes UNADFI et CCMM, l’institution anti-sectes étatique controversée MIVILUDES et George Fenech (magistrat, ancien président de la MIVILUDES et député du parti d’opposition LR) ont induit en erreur la ministre en charge de la Citoyenneté, Marlène Schiappa, sur le danger présumé que représente un groupe de prière.